Informations générales
Début des travaux: | 16 octobre 2001 |
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Achèvement: | 14 décembre 2004 |
Durée des travaux: | 38 mois |
Etat: | en service |
Type de construction
Structure: |
Pont à haubans à travées multiples Pont haubané en semi-harpe |
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Conditions de support: |
disponible avec inscription |
Éléments de la construction: |
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Fonction / utilisation: |
Pont-autoroute (viaduc autoroutier) |
Matériau: |
Pont en acier Structurae Plus/Pro - Abonnez-vous maintenant ! Structurae Plus/Pro - Abonnez-vous maintenant ! |
Plan: |
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Méthode de construction: |
tablier: Rippage longitudinal avec haubans temporaires piles: Coffrage grimpant |
Prix et distinctions
2006 |
lauréat(e)
disponible avec inscription |
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disponible avec inscription |
Situation de l'ouvrage
Lieu: |
Millau, Aveyron (12), Occitanie, France Creissels, Aveyron (12), Occitanie, France |
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Adresse: | A 75 |
Porte le/la: |
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Franchit le/la: |
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Fait partie de: | |
A côté de: |
Centre d'information du viaduc de Millau
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Près de: |
Péage du Viaduc de Millau (2004)
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Coordonnées: | 44° 5' 6" N 3° 1' 18" E |
Informations techniques
Dimensions
longueur totale | 2 460 m | |
longueurs des travées | 204 m - 6 x 342 m - 204 m | |
longueurs des travées | 204 m - 6 x 342 m - 204 m | |
rayon de courbure horizontale | 20 000 m | |
pile P1 | hauteur | 94.50 m |
pile P2 | hauteur | 244.96 m |
pile P3 | hauteur | 221.05 m |
pile P4 | hauteur | 144.21 m |
pile P5 | hauteur | 136.42 m |
pile P6 | hauteur | 111.94 m |
pile P7 | hauteur | 77.56 m |
pylônes | hauteur du pylône (au-dessus de tablier) | 88.92 m |
hauteur du pylône (du sol) | max. 343 m | |
tablier | épaisseur du tablier | 4.20 m |
hauteur au dessus de l'eau / fond de vallée | 270 m | |
largeur totale | 32.050 m | |
inclinaison longitudinale | 3.025 % |
Quantités
volume des terrassements | 350 000 m³ | |
dalles de fondation | volume de béton | 13 000 m³ |
aciers passifs | 1 300 t | |
fondations | aciers passifs | 13 450 t |
haubans | acier des haubans | 1 500 t |
pieux | volume de béton | 6 000 m³ |
aciers passifs | 1 200 t | |
piles | volume de béton | 53 000 m³ |
acier de précontrainte | 200 t | |
aciers passifs | 10 000 t | |
pylônes | acier de construction | S355: 3 200 t S460: 1 400 t |
structures temporaires | acier de construction | S 355: 3 200 t S 460: 3 200 t |
volume de béton | 7 500 m³ | |
aciers passifs | 400 t | |
tablier | acier de construction | S355: 23 500 t S460: 12 500 t |
Coût
coût de construction | Euro 300 000 000 |
Matériaux
tablier |
acier
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piles |
béton armé
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pylônes |
acier
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culées |
béton armé
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haubans |
acier
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chevêtres de piles |
béton précontraint
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Chronologie
1987 | Établissement des premiers tracés par le CETE d'Aix-en-Provence. |
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1990 | Décision ministérielle retenant le franchissement du Tarn par un ouvrage de 2500 m environ. |
1993 — 1994 | Consultation séparée de sept architectes et de huit bureaux d'études. |
1995 — 1996 | Seconde étude de définition avec cinq groupements associant architectes et bureaux d'études. |
1996 | Le jury retient la solution haubanée à travées multiples du groupement Sogelerg – Norman Foster. |
1998 | Décision de mise en concession du viaduc de Millau. |
2000 | Lancement du concours en concession-construction. |
mars 2001 | Eiffage est déclaré lauréat du concours et concessionnaire pressenti. |
mai 2001 | Signature du dossier marché. |
août 2001 | Avis du Conseil État sur le projet de décret ministériel attribuant la concession à Eiffage. |
16 octobre 2001 | Début de la construction. |
novembre 2002 | La pile P2 (la plus haute) dépasse les 100 mètres. |
26 février 2003 | Début du lançage du tablier. |
28 mai 2003 | La pile P2 a dépasse la hauteur de 180 m devenant ainsi la plus haute pile du monde (record détenu auparavant par le viaduc de Kochertal). Ce record devrait être battu à la fin de l'année avec 245 m. |
3 juillet 2003 | Début de l'opération de lançage L3. Elle s'est terminée 60 heures plus tard. A la fin du lancement, le tablier est cloué provisoirement sur la pile pour assurer sa stabilité en cas de tempêtes avec des vents de 185 km/h. |
25 août 2003
— 26 août 2003 |
Phase de lancement L4. Elle permet au tablier de franchir la distance entre la pile P7 et l'appui provisoire Pi6. |
29 août 2003 | Accostage du tablier sur l'axe de l'appui intermédiaire Pi6 après un poussage de 171 m. Le tablier a été relevé d'une hauteur de 2,40 m pour permettre son passage au-dessus de l'appui Pi6. A la suite de cette opération Freyssinet a cloué provisoirement le pylône P3 sur la pile P7. |
12 septembre 2003 | Deuxième lançage (L2) de 114 m du tablier métallique côté nord. Le premier lançage (L1) s'était déroulé sur la terre ferme au niveau de la culée, permettant de valider les procédures et les dispositifs techniques. |
novembre 2003 | Achèvement des piles. |
26 mars 2004 | Lançage L10 côté sud. Le tablier atteint la pile P3. |
nuit du 4 avril 2004
— 5 avril 2004 |
Le tablier métallique est poussé sur la pile P2, la plus haute du monde. L'opération de lançage a été ralentie par le vent et par les nappes de brouillard perturbant les systèmes de visée laser. A cette phase, 1 947 m de tablier ont été lancés. |
20 avril 2004 | Fin du lançage du tablier côté Nord. L'extrémité du tablier se trouve à l'aplomb du Tarn. Il reste faire 2 lançage côté Sud. |
28 mai 2004 | Fin du lançage et clavage du tablier. |
fin juillet 2004 | Fin du levage des pylônes. |
21 septembre 2004
— 25 septembre 2004 |
Travaux de pose du revêtement. 9 000 t d'enrobés spéciaux + 1 000 t d'enrobés "classiques" au centre sont utilisés. Un problème de dilatation du tablier a conduit à changer de méthode de pose des enrobés. La solution intitiale: mise en place en continu sur chaque côté du pont. Solution mise en oeuvre: Mise en oeuvre par "pianotage". |
novembre 2004 | Fin prévue du démontage des palées provisoires. |
17 novembre 2004 | Début des épreuves de l'ouvrage (920 t de charge totale). |
14 décembre 2004 | Inauguration par le président de la République française, Jacques Chirac. |
16 décembre 2004, 09:00 | Ouverture à la circulation. |
2006 | Outstanding Structure Award 2006 (IABSE) |
12 août 2006 | 53 795 véhicules ont franchi le viaduc. Le précédent record datait du 30 juillet 2005 avec 50 018 véhicules. Entre le vendredi 11 août et le mardi 15 août 2006, plus de 170 000 véhicules ont franchi le viaduc. |
Détails techniques supplémentaires du Viaduc de Millau
Piles
Les piles ont les dimensions suivantes:
- dans la direction longitudinale: 16 à 17 m
- dans la direction transversale: variable de 10 m en tête à 27 m en pied pour la pile la plus haute.
Les fûts de pile sont dédoublés sur les 90 m supérieurs. Les fûts dédoublés sont précontraints sur toute leur hauteur à l'aide de 8 câbles 19. La dimension de ces fûts dans la direction longitudinale varie de 5 m en tête à 8,60 m à la base.
Avec les piles les plus hautes du monde, ce viaduc surpasse même la tour Eiffel.
Tablier
Le tablier est haubané. Le haubanage en nappe axiale comporte 11 haubans par nappe disposés en semi-éventail et espacés de 12,51 m.
Pylônes
La hauteur totale des pylônes est de 87 m. Les pylônes ont la forme d'un Y inversé. La hauteur des jambes du Y est de 38 m.
Chaque pylône a un poids de 650 tonnes et une hauteur de près de 89 mètres. Leur assemblage est fait en temps masqué à l'arrière des culées. Ils sont ensuite transportés à la horizontale de chaque pile en un seul bloc à l'aide de chariot automoteur du type Kamag. Ils sont levés en une demi-journée par l'intermédiaire d'une palée comportant deux tours équipées de vérins hydrauliques et d'un système de cales.
Conception et construction du viaduc de Millau
Le 16 décembre 2004, le viaduc de Millau a été ouvert à la circulation, comblant ainsi la dernière lacune de la deuxième liaison française nord-sud, l'A 75. Il mérite vraiment le nom de pont record, non seulement parce qu'il est le plus haut pont du monde, traversant le Tarn à une hauteur de 270 m, mais aussi parce que sa construction a duré 38 mois et que son coût (environ 400 millions de Euros) est tout à fait record. Pourtant, les études pour ce projet exceptionnel ont commencé dès la fin des années 1980. La liaison classique nord-sud française A7 à travers la vallée du Rhône étant constamment surchargée pendant les mois d'été, l'idée d'installer une deuxième liaison – à travers le Massif central au cœur de la France s'est imposée. Il y avait surtout un obstacle naturel : la vaste vallée de la rivière Tarn près de la petite ville de Millau – connue surtout pour ses interminables embouteillages en été. Il a donc été décidé de construire un viaduc de 2.460 m de long pour franchir la vallée. En 1996, il a été décidé de construire une série de ponts à haubans. La construction et l'exploitation du projet ont été réalisées dans le cadre d'une procédure de concession, qui prend fin 78 ans après le début des travaux. Au total, la durée d'utilisation totale est estimée à 120 ans. L'objectif était de raccourcir la durée de construction et de pouvoir ainsi bénéficier des recettes de péage à un stade précoce. Cela a incité le groupe de construction français Eiffage, avec sa filiale Eiffel Construction Métallique, à présenter, contre le projet initial d'un pont en béton précontraint, une alternative avec des poutres et des pylônes en acier. Cette solution a été retenue en mars 2001 et les travaux de construction ont débuté en octobre 2001. Les avantages de la solution en acier par rapport à la solution en béton sont:
- Légèreté et élancement du tablier (36.000 t contre 120.000 t en béton),
- Réduction de la hauteur de construction du tablier à 4,20 m (moins de sensibilité au vent),
- Sécurité : réduction des étapes de travail nécessaires en hauteur grâce au prémontage et au procédé de poussée cadencée,
- Minimisation du nombre de haubans ainsi que des fondations,
- Réduction du coût total du projet (déterminante).
En l'espace de 2,5 ans, près de 43.000 tonnes d'acier ont été utilisées pour le tablier, les pylônes et les supports auxiliaires de montage. Pendant toute la phase de conception, Michel Virlogeux a été l'ingénieur de référence pour le SETRA, l'agence française des autoroutes, et pendant la phase de construction, il a joué un rôle important de conseil pour l'exécution des travaux.
Conception
Le pont de Millau a une longueur totale de 2.460 m et comprend 8 travées, 2 travées latérales de 204 m et 6 travées intérieures de 342 m. La section transversale est constituée d'un caisson en acier avec un tablier orthotrope, deux poutres intérieures verticales et des sous-faces latérales inclinées. Les âmes sont nécessaires pour la fabrication par poussage, les poutres de rive triangulaires créent une section aérodynamique qui réduit les charges de vent sur la structure. Des déflecteurs sont installés à l'extérieur de la poutre pour éviter le renversement des camions hauts. Les arrondis des deux côtés du pont améliorent le comportement aérodynamique et l'aspect. En raison de la grande hauteur au-dessus de la vallée, une solution de poutre centrale avec un seul niveau de câbles s'imposait. Le caisson fournit la rigidité torsionnelle de la poutre nécessaire à cet effet. La conception du pont a été guidée par l'exigence que les piles, qui peuvent atteindre 244 m de haut, soient suffisamment rigides pour supporter des charges asymétriques dans le sens de la longueur. D'autre part, ils doivent être suffisamment souples pour pouvoir suivre les déformations longitudinales de la poutre dues à la température. La solution consiste en une solide section de caisson au niveau de l'encastrement inférieur, qui est fendu verticalement sous la poutre. La dissolution de la section fermée permet d'obtenir la souplesse de flexion nécessaire. Les pylônes de 87 m de haut situés au-dessus du tablier sont des poutres A rigides dans le sens longitudinal du pont. Les pieds écartés des pylônes rejoignent au niveau de la poutre les deux pieds également écartés des piles. Il en résulte un système complet de piles + pylônes qui décompose le moment appliqué à la pointe du pylône par des charges excentriques en composantes verticales de traction et de compression. Les fûts de piles divisés, d'une longueur de 90 m, ont été précontraints verticalement afin de contrecarrer les contraintes de traction dues au vent sur les piles centrales et aux variations de température sur les piles périphériques. Entre la superstructure en acier et les piles en béton se trouvent quatre appuis qui sont précontraints dans les fûts de piles pour éviter le soulèvement. Sous des charges asymétriques et des vents extrêmes, la force de compression sur chaque appui peut atteindre 100 MN. De nouveaux types d'appuis à calotte ont été utilisés à cet effet. Le pylône situé au-dessus de la superstructure est en acier afin d'être le plus léger et le plus mince possible. Le niveau central du câble est ancré entre les tôles extérieures longitudinales.
Fabrication
Piles
Les piles ont des sections variables, mais leurs dimensions ont été choisies de manière à faciliter le coffrage. Quatre côtés ont des dimensions fixes et les quatre autres changent régulièrement à chaque étape de la construction. Ceci a permis la fabrication avec un coffrage grimpant extérieur et un coffrage intérieur, déplacé par sections par la grue à tour.
Poutre-caisson
A partir de tôles et de raidisseurs creux, près de 2 100 panneaux raidis ont été fabriqués dans les ateliers de construction métallique d'Eiffel Construction Métallique à Lauterbourg (Alsace), soit environ 4 par jour de fabrication. Après le transport vers le chantier, l'assemblage par soudage a été réalisé sur les deux postes de prémontage de 170 m de long. Les caissons centraux avaient été préalablement pré-assemblés à Fos-sur-Mer. Au total, jusqu'à 75 soudeurs sont intervenus par poste de prémontage.
L'insertion de la poutre : le bureau Greisch de Liège, Belgique, a été chargé de la planification de l'exécution, y compris le montage des éléments métalliques de l'ouvrage – poutres, pylônes et supports auxiliaires –. Le responsable était Jean-Marie Crémer. Lors de l'insertion des deux culées, différentes astuces ont été utilisées afin de maîtriser l'énorme force exercée. Ainsi, pour le montage, la portée a été réduite de moitié grâce à des supports télescopiques provisoires, un bec d'avant-bec a été utilisé et un pylône avec une partie des câbles obliques définitifs a été inséré. Ces câbles n'ont pas été retenus pendant le déplacement ! Après la fermeture du pont le 28 mai 2004, les pylônes et les haubans restants ont été montés et les supports auxiliaires ont été retirés. La poutre en acier a été insérée simultanément par les deux extrémités avec un joint de fermeture au-dessus du Tarn. Des poteaux auxiliaires en treillis ont été installés au milieu des grandes portées, à l'exception de la portée moyenne qui a été pontée de chaque côté par un cantilever. Les appuis de poussée, espacés de 20 m, réduisaient les moments des poutres pendant le déplacement dans un rapport de (151/171)2 = 0,78, un soulagement non négligeable. Les appuis auxiliaires sont constitués de tirs préfabriqués de 12 m de haut. Ils sont construits comme une grue. Les éléments en profilés tubulaires d'acier montés au sol étaient soulevés à l'aide d'un dispositif de levage situé à l'intérieur, de telle sorte que l'élément suivant pouvait être monté par le bas et également soulevé, jusqu'à ce que les piles auxiliaires atteignent finalement une hauteur de 175 m de manière télescopique. La charge la plus importante était d'environ 7.000 tonnes, ce qui correspond à peu près au poids de la Tour Eiffel.
Des échafaudages auxiliaires ont été ajoutés aux piles définitifs uniquement au sommet pour le déplacement. Une particularité du déplacement était que, pour des raisons de coûts et de temps, le lieu de prémontage se trouvait à la hauteur du niveau de la future route, 4,8 m au-dessus du bord inférieur du pont. Sur la vue raccourcie, l'élasticité de la poutre en acier lors du franchissement de ce saut de terrain est particulièrement évidente. Chacune des deux superstructures a été poussée sur sa travée latérale extérieure à l'aide d'un étai auxiliaire et d'un bec d'avant-bec. Ensuite, le pylône définitif avant a été installé comme support auxiliaire, mais avec une hauteur réduite de seulement 70 m au lieu de 87 m, afin de limiter les charges de vent dans le sens transversal pendant le déplacement. La vitesse maximale du vent autorisée lors du déplacement était de 37 km/h. En raison de la hauteur extrêmement élevée des piles, les forces de frottement pendant le déplacement devaient être équilibrées à l'intérieur de chaque pointe de pile. C'est pourquoi des appuis de poussée actifs ont été installés sur chaque pilier, à raison de deux par ligne d'appui. Des presses hydrauliques horizontales sur les paliers produisaient le déplacement horizontal, des capteurs et un contrôle central garantissant que chaque tête de pilier restait immobile pendant le déplacement. Enfin, la travée intérieure était surmontée de chaque côté par des cantilevers soutenus par les pylônes. La planification et la construction de ce montage inhabituel ont été une performance d'ingénierie tout à fait extraordinaire.
Les pylônes
Une fois la poutre en acier terminée, les pylônes en acier ont été prémontés derrière les culées. Chaque pylône était ensuite amené à sa position finale par deux grues sur chenilles au-dessus de la poutre du pont. Le poids d'un tel convoi était de 8 MN, ce qui représentait une charge d'essai extrême pour le pont. Les pylônes ont été redressés de leur position couchée à l'aide d'un pylône auxiliaire temporaire haubané. Enfin, ils ont été reliés à la poutre dans leur position définitive et les câbles ont été installés.
Pont terminé
Le pont de Millau est un exemple significatif d'une série de ponts à haubans. Dans un paysage impressionnant, il s'agit d'un ouvrage d'une grande élégance qui franchit la vallée à grande hauteur avec une grande facilité.
Extrait de : Svensson, Holger : Schrägkabelbrücken (1ère édition),Wilhelm Ernst & Sohn Verlag für Architektur und technische Wissenschaften GmbH, Berlin (Allemagne), ISBN 3433029776, 2011 ; pp. 413-419
.
Intervenants
-
Sétra
- Michel Virlogeux (concepteur)
- EEG Europe Etudes Gecti
- Société d'études R. Foucault et Associés
- SOGELERG
-
Foster and Partners
- Norman Foster (architecte)
- Jean Piccardi (acier)
- François Schlosser (géotechnique)
- Jean-Claude Foucriat (acier)
- ARCADIS
- Bureau d'études Greisch
- EEG Simecsol (piles)
- Société d'études R. Foucault et Associés
- STOA Eiffage
- Thales Engineering & Consulting
- Bureau d'études Greisch (tablier)
- Carl Stahl ARC GmbH (garde-corps)

Sites Internet pertinents
-
archINFORM: Millau-Viadukt
-
Aurelle-Verlac: Viaduc de Millau
-
BBC News: France 'completes' tallest bridge (29.05.2004)
-
Bernd Nebel: Brücken: Brücken in Europa: Viaduc de Millau
-
Broer.no: Millau Viaduct
-
Broer.no: Millau Viadukt
-
Christian Tardieu: Viaduc de Millau
-
ConstructionEquipmentGuide.com: Millau Viaduct Rises to a Record Height (24.01.2005)
-
HighestBridges.com: Millau Viaduct
-
Le Monde: web: conférence UTLS: le viaduc de Millau par M. Virlogeux
-
Météo France: Le Viaduc de Millau - Une assistance météo hors normes
-
OTUA: Grand Viaduc de Millau
-
OTUA: Ponts et ouvrages d'art: Le viaduc de Millau: l'acier de tous les exploits
-
OTUA: Viaduc de Millau
-
Planète TP: Viaduc de Millau
-
Viaduc de Millau
-
Wikipédia: Viaduc de Millau
Publications pertinentes
- 28 poids lourds mettent le viaduc à l'épreuve. Dans: Le Moniteur des Travaux Publics et du Bâtiment, n. 5270 (26 novembre 2004), pp. 7.
- 36 000 t d'acier assemblées sur les rives du Tarn. Dans: Le Moniteur des Travaux Publics et du Bâtiment, n. 5210 (3 octobre 2003), pp. 99. (2003):
- A75. Puits de reconnaissance du Grand viaduc de Millau. Un ouvrage exceptionnel, reconnaissance géotechnique exceptionnelle. Dans: Travaux, n. 731 (mai 1997), pp. 18-23. (1997):
- Ambient and free vibration tests of the Millau Viaduct: Evaluation of alternative processing strategies. Dans: Engineering Structures, v. 45 (décembre 2012), pp. 372-384. (2012):
- L'apogée du système Freyssinet. Dans: Sols et Structures, n. 220 ( 2004), pp. 6-11.
- Informations
sur cette fiche - Structure-ID
20000351 - Publié(e) le:
02.09.1999 - Modifié(e) le:
01.03.2022